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L’empire du milieu ou plutôt ce qu’il en reste

 

L’empire du milieu ou plutôt ce qu’il en reste

Il est situé dans la péninsule qui coupe plus ou moins en deux la mer du Milieu. La capitale, Courtel, reste la ville la plus importante du continent, le centre des affaires, du commerce et de la banque. Le souhait le plus fréquent à une personne à laquelle vous voulez du bien est : " Puissiez vous vous enrichir ! ".

La superficie est de 240 000 km² (30 hexagones) pour 1, 2 M habitants, y compris la capitale.

La ville de Courtel, située à peu de distance de la mer (une trentaine de kilomètres) y est reliée par une rivière navigable, à l’embouchure de laquelle se trouve un important port civil et militaire. 250 000 habitants logent encore en permanence dans la ville elle même, située autour d’une colline.

La ville et le pays sont administrés par un consortium qui regroupe les représentants des grandes familles patriciennes et porte le nom de Sénat impérial. Celui ci ne reconnaît l’autorité d’aucun des prétendants au trône impérial.

La collaboration entre les différentes factions du patriarcat est souvent difficile, mais la fidélité à la faction à laquelle on appartient est de mise. La progression sociale est possible à l’intérieur d’une faction.

A coté des patriciens et de leur clientèle directe, il existe une multitude d’artisans et de boutiquiers qui s’expriment en soutenant tantôt une faction, tantôt une autre, y compris par la violence. Leur revendication est d’être représentés au Sénat en tant que tels mais les patriciens n’ y ont jamais consentis.

Les collèges de prêtres des principaux dieux possèdent leurs plus grands temples dans la capitale. Les principales universités s’ y trouvent aussi et des étudiants viennent suivre les enseignements de tout le continent.

Le reste de la péninsule est partagé entre les latifundia (de grandes propriétés mises en valeur par des esclaves) et les paysans libres dont l’activité anime quelques autres villes. En fait, les grands propriétaires se sont accaparés les plaines côtières et, sauf exceptions, les paysans libres ont été refoulés dans les collines. En leur sein, la solidarité familiale est très forte. Des mines sont exploitées dans les collines.

L’armée et la marine ne sont plus ce qu’elles étaient mais une armée de mercenaires bien entraînés et originaires des steppes et des montagnes aradjanaises fournit un support de qualité aux milices. Les patriciens et leurs entourages combattent en cavalerie lourde. Les paysans manient l’arc long et l’épieu avec une grande dextérité.

 
 
Publié le lundi 22 décembre 2008

 
 
 
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  Mis à jour le lundi 22 décembre 2008